La manque de valorisation y est surement pour quelque chose mais de là à se considérer comme un moins que rien, il doit y avoir une autre explication.
Je pense que l'origine de cela vient du fait que je ne me suis jamais prouvé de quoi j'étais capable et cela a induit un comportement "boule de neige" : je ne fais pas cela parce que je n'y arriverai pas, résultat : je suis mauvais car je ne sais rien faire.
Et c'est bien dommage car nous avons tous, d'après moi, des capacités. La capacité de bien faire, de bien penser, de changer...
Pour s'en apercevoir, il suffit juste de faire sauter cette bride, cet automatisme de pensée qui nous dicte comment nous comporter face à des situations à risques ou de simples choix. J'essaye de faire cela. Parfois ça fonctionne, parfois non.
Parfois, je suis surpris de voir de quoi je suis capable et c'est doublement valorisant : premièrement parce que les choses que j'accomplis sont parfois des petites réussites (ma rigueur et mon perfectionnisme m'y oblige! j'aime parfois ces "défauts"!) et ensuite parce que cela prouve que je me suis trompé sur moi même et donc que les limites de mes possibilités peuvent être infinies! Une illusion de plus qui s'envol et j'aime me tromper...
Mais même l’échec est bénéfique, il permet de mieux se situer, mieux connaitre ses terrains de prédilection et les chemins à ne pas prendre... Mais je pense qu'il est inutile de se lancer dans une tâche perdue d'avance, seules celles où le doute subsistent peuvent être révélatrices.
Comme savoir de quoi nous sommes capable sans expérimenter? De plus l'erreur est en général moins pesante que le bénéfice de la réussite. Au fil des tentatives, notre portrait s'affine, on apprend à se connaitre et les erreurs deviennent de plus en plus rare. A l'image d'un enfant qui apprend à faire du vélo et qui au début tombe beaucoup puis de moins en moins, et enfin plus du tout.
Illustration : les automatismes de pensées nous amènent à penser maladroitement. Par exemple, les deux carrés de la première image sont de la même couleur (il suffit de placer sont doigt sur la ligne du milieu pour s'en apercevoir) mais le cerveau pense que les zones dans l'ombre sont plus claire... . Sur la deuxième image stéréoscopique, on voit apparaître un oiseau (qui y arrivera? ;-)
De la même sorte, le cerveau se fourvoie régulièrement et pense que les erreurs font de nous des imbéciles...
bonjour
RépondreSupprimeril y a aussi l'inverse .Plus on me décridibilisait, plus on me dénigrait et plus j'étais persuadée du contraire .
Par contre cela ne m'a malheureusement pas empêché de tomber dans le piège des phobies et des tocs de pensées ...dus aussi aux automatismes de pensée erronées.Puis malgré mon gros travail et une rémission de quelques années rebelote , mais cette fois ci la faute au syndrome pré et post menstruel...mais quand même, je m'aperçois que je dois recommencer tout le travail abattu pendant des années ( observations des pensées, des émotions etc) et ça par contre cela me décourage un peu ....j'essaie de faire comme vous m'aviez conseillé de la méditation quand je peux mais je vais essayer d'en faire plus longtemps et d'une manière plus assidue ...
Bonjour Jurafa
SupprimerJe vais être honnête avec vous : j'ai écris ce texte pendant une phase de rechute (grosses angoisses!). Christophe ANDRE écrivait que la rémission passait très souvent par des phases de rechutes, mais normalement, de moins en moins violentes et de moins en moins longues. C'est mon cas, j’espère le votre aussi (mais si vous dites avoir eu l'esprit tranquille pendant plusieurs années, c'est une reussite!). Mais cela permet une fois de plus d'avancer en essayant à nouveau d'analyser les petites améliorations à apporter à nos nouvelles résolutions.
Et concernant la méditation, quand je suis dans ces phases d'angoisse (qui durent environ 2 bonnes semaines), inutile de méditer, la concentration ne peut plus se faire. Mais il ne faut pas s'en vouloir pour autant, il faut juste reprendre une fois la tempête passée... il faut juste se préoccuper du moment présent et reprendre ses esprits...
Le travail que vous avez fait pendant tout ce temps n'est pas inutile, il fait aussi parti de vos automatismes de pensée désormais et donc vous aideront d'autant plus à vous remettre sur pied...
Bon courage.
merci Cédric, mais je n'ai honnêtement pas l'impression d'avoir acquis des automatismes de stratégies pour ne pas retomber dans les pièges...ou peut-être simplement parce que la rémission a été longue pour une fois que je me suis crue guérie et que j'avais tout oublié ...donc tout réapprendre...ou peut-être que le toc et les schémas de fonctionnement sont retors et vicieux et se cachent derrière des émotions ou des pensées plus ou moins détournées pour éviter de se faire coincer ...peut-être un mix des 2...
RépondreSupprimeril n'empêche que je me pose toujours la question de savoir pourquoi on rechute .Pour moi c'est inconcevable et incompréhensible ??
Si justement tout a été compris , assiilé , travaillé etc pourquoi rechute-t-on alors ?
car quand bien même un coup de stress, un événement particulier , de la fatigue etc nous tombent dessus, on devrait normalement être armé pour ne pas retomber ni rechuter ?
Je suis en colère contre moi-même contre cette rechute car j'ai tellement , énormément bossé sans rien,tellement dégusté, tellement affronté , tellement bavé ( des années)que je ne comprends pas cette rechute qui est presque , je dis presque comme au début .Je suis sure que vous aussi avez beaucoup bossé pour vous en sortir ....
en passant j'aime beaucoup C.André que je connais depuis un moment...
Jurafa,
SupprimerJe pense que malgré tout le travail que l'on peut faire sur soi, parfois, on a des faiblesses, des failles par lesquelles le mal être s'introduit dès que l'on baisse la garde.
Moi par exemple, je sais que quand je manque de sommeil et quand je me néglige (mal bouffe, manque d'activité, "méchanceté" etc..) cela me plonge à nouveau dans des états d'anxiété.... Je pense que c'est dans la nature humaine de se relâcher une fois les choses acquise alors que ces choses s'entretiennent et cela pour toujours....
Cela fait 4 ans que je travail sur tout cela et vous voyez, parfois, je rechute. Je me sers de cela pour comprendre encore et encore et toujours. A chaque fois j'adopte une nouvelle façon d'agir, je tente, je test... c'est un travail qui durera peut etre (surement) toute ma vie mais petit à petit l'emprise est moins forte, et je garde le contrôle de plus en plus, pour preuve, personne ne rend plus compte de mes états d'anxiété voir dépressif...
Bon courage et n'hésitez pas à partager vos expériences, ce blog est fait pour cela...
Bonjour Cédric,
RépondreSupprimerLa méditation de pleine conscience, où en es tu?
Cours-tu toujours?
Oui, les automatismes de pensées, ou les pensées automatiques sont à prendre avec des pincettes. Les critiquer est une bonne méthode pour en décoller.
Les pensées ne sont pas la réalité.
Les pensées ne sont pas la réalité.
Une autre méthode pour en décoller est de rechercher la croyance dysfonctionnelle qui se cache derrière les pensées automatiques et de travailler dessus avec un pro TCC.
Et puis il y a d'accepter les pensées pour ce qu'elles sont : des pensées et rien de plus. Le pouvoir qu'elles prennent sur le mental dépend du pouvoir qu'on leur donne. Elles vont, va, viennent, et la méditation aide à les accepter sans les qualifier, à les observer, mais presque de loin, des pensées, nous en avons tous. Pourquoi celles-là plus que d'autres? Parce qu'elles entrent en résonance avec une croyance solidement implantée et qui dysfonctionne, qui fait souffrir.
L'idée de consulter qqn a t'elle mûrie en toi?
Parfois, à deux, c'est plus facile, plus aidant :)
Je t'embrasse
A bientôt
Ameline
Bonjour Ameline
SupprimerLa méditation, je la mets toujours en pause lorsque je traverse des états anxieux car impossible de me concentrer, mes pensées prennent le dessus... je patiente donc car ces états finissent toujours par passer. Cette réflexion, c'est la méditation qui me l'a apprise. Tout comme le fait que les pensées et les émotions ne sont que mentales, elles ne sont pas forcement la réalité. Mes "fausses croyances" et mes anxiétés également. Injustifiées. Tout cette réflexion est longue à mettre en place car bien trop profondément ancrée. Mais quand je remonte à mes premiers états anxieux je me rends compte qu'elles ont moins d'emprise... Surement ce long travail qui commence à porter ses fruits...
Concernant le footing, premier millier de km!!! ;-) je suis satisfait et j'ai l'impression de m’être prouvé que je me suis trompé sur moi même, que je suis capable de pleins de choses (d'où l'inspiration de ce billet). Je pense m'orienter désormais vers d'autres fausses croyances desquelles je compte bien me défaire!
La consultation, j'y pense, j'ai déjà consulté psychologue et psychiatre qui m'ont déjà libéré de certains verrous... pas encore de spécialiste des TCC. Rien ne me retient mais je souhaite vraiment m'envoler de moi même vers la sérénité... ce serait la concrétisation ultime de tout ce travail réalisé... j'ai besoin d'être fière de moi, j'ai trop de carence à ce niveau....
Bonjour
RépondreSupprimerje me rends compte qu'effectivement le toc a des puissantes armes pour nous faire retomber dans nos travers et ceci même lorsque il n'ya aucune raison.J'ai des attaques de panique en période de vacances qui me provoquent des crises d'angoisse (peur de la dépression , du suicide etc ) et pourtant je connais par cœur le processus ..j'ai toujours observé ces mouvements ...
En ce moment j'ai une angoisse latente scotchée au ventre et je trouve qu'avec l'aspect des pensées intrusives de dépression genre " han n regarde comme tu souffres, tu vas faire une dépression c'est sûr, han tu vas finir par te sucider etc" et bien sur tout le cortège pensées toutes plus angoissantes les unes que les autres et bien j'ai du mal à m'en sortir tellement la souffrance psychologique est importante...
Ce n'est pourtant absolument pas nouveau pour moi, j'en ai dégusté pendant des années de ces angoisses qui me vrillaient le ventre et de la souffrance psychologique ..Seulement à l'époque la perception n'était pas la même...j'observais et vaquais à mes occupations ...là j'ai l'impression que le toc de la dépression et l'angoisse vrillée au ventre m'empêchent d'être juste observatrice comme je le faisais avant ...et même si je le fais , reste l'angoisse scotchée au ventre et ce mal être ...je suis obligée pour la première fois de me concentrer sur autre chose pour sortir de ces pensées et de cet état ....qui recommence quelques heures plus tard
Donc tu vois que ce n'est pas faute d'être armée, je ne sais pas quoi faire de plus , car affronter , je l'ai toujours fait mais cette fois ci ça ne fonctionne plus ...
Jurafa bonsoir
SupprimerCe que vous décrivez, ressentez, c'est idem pour moi, vos pensées, ces petites voix qui me disent que je suis malade, gravement même, que je deviens dingue et que je vais faire du mal à mon entourage etc.... Tout comme vous, avant, un simple détournement de l'attention suffisait à changer mes états d'âme, Désormais, cela ne fonctionne plus, A force de sombrer, les ramifications du cerveau se gravent pour toujours. Je pense que pour tous les "anxio depressif" c'est la même "mécanique". Alors, si vous et moi sommes pareil, tout comme moi, ces états arrivent, augmentent en puissance, puis disparaissent. Ils finissent par disparaître aussi pour vous? Me concernant, quand ces états durent trop et deviennent vraiment insupportable, je n'hésite pas à prendre un anxiolytique léger. C'est vraiment du dernier recours et à très court terme car je sais à quel point il est difficile de s'en défaire! Mais cela apaise et surtout, cela "amorce" la lutte contre cet état. A force de reculer, le démon fini par s'enfuir...
Connaissez vous le docteur Pierre SETBON? Avez vous vous étudié le principe des crises d'angoisse? l'action de l’adrénaline et du cortisol?
Tout cela pour vous dire que quand la souffrance est trop forte, je pense qu'une aide médicamenteuse (temporaire) est peut être nécessaire.
Ne perdez pas espoir, il faut changer de méthodes mais une solution existe forcement!
Bonjour Cédric,
RépondreSupprimeroui c'est comme toi ( tu peux me tutoyer ...) je suis d'accord sauf sur le point " a force de sombrer les ramifications du cerveau se gravent pour toujours " non, la neuroplasticité permet justement le contraire , et de toute façon en matière de cerveau rien n'est jamais immuable ...donc la méditation , relaxation, yoga , tcc permettent de changer les structures profondes ..
Avant la phobie de la dépression, j'avais la phobie d'impulsion qui me paraissaient être la pire truc au monde et que je m'en défairais jamais, j'en ai guérie ...aujourdhui avec la rechute des crises , elle revient de temps en temps mais n'est rien comparée à avant et mon regard a bien changé, je n'en ai plus peur ...je dois donc faire la même chose avec cette phobie ci mais en même temps je dois travailler encore plus large qu'avant pour ne pas que d'autres phobies prennent le relais sinon ce sera sans fin, c'est là le plus gros du boulot ...
je regarderai le Dr Setbon et le principe des angoisses
en fait avec ta phrase " a force de sombrer,les ramifications du cerveau se gravent pour toujours" tu m'as bien mis le bourdon et maintenant je rumine dessus , même si je suis persuadée du contraire ...
Supprimerpff foutu toc...
Jurafa, en effet, je n'ai pas été au bout de mon explication : d'après moi les "ramifications neuronales" se forment et finissent par se graver à force d'utilisation par nos pensées MAIS la plasticité de notre cerveau permet en effet de former d'autres interconnexions, des contournements... Pour cela des outils sont désormais à notre disposition : méditation de pleine conscience, pensées positives, tcc et j'en oublie pleins d'autres...
SupprimerDésolé pour le coup de bourdon, de plus tout ce que j'écris n'est que mon avis, rien de plus, rien de scientifique, c'est juste ce qui découle de ma réflexion suite à mon vécu, mes "expériences", ce n'est pas une vérité, du moins, ce n'est que la mienne...
Les questions que vous vous posez prouve une chose : vous voulez vous en sortir, ceux qui baissent les bras ne se lancent pas dans ce type de réflexions.
"d'après moi les "ramifications neuronales" se forment et finissent par se graver à force d'utilisation par nos pensées "
RépondreSupprimeroui , c'est ce que j'appelle les tocs, ou comportement appris...
Coucou Cédric
RépondreSupprimerJe ne comprends pas, ça ne marche pas, avec moi, ton truc : quand je passe mon doigt comme tu dis, les 2 carrés restent bien de couleurs différentes, sans ambiguité possible. Bizarre ?
Est-e que tu connais le truc de la robe qui circule beaucoup en ce moment chez les jeunes sur les réseaux sociaux ? ma fille m'a montré, nous avons fait le test en famille. C'est une robe, certains la voient blanche et dorée (comme moi) et d'autres bleue et noire ! Je n'en reviens pas, pour moi elle ne pouvait être autrement que blanche et dorée...Chez nous, sur 5 personnes, 2 la voient blanche et dorée, 3 la voient bleue et noire...Nous avons tous une vue "normale"....J'essaierai de t'envoyer la photo si ma fille me la fournit....Bonne journée à toi !
Salut Cathou
SupprimerJ'ai remplacé l'image par une autre qui fonctionne mieux ;-) en effet, l'autre fonctionnait moyennement.
J'ai également ajouté une image stéréoscopique, elle renferme un oiseau, sais tu le faire apparaître? ;-)
Je suis preneur de ton truc de la robe! j'aime beaucoup les illusions d'optique!
Bye.
Effectivement, avec cette nouvelle illustration c’est assez flagrant ! Notre cerveau nous joue parfois des tours.
SupprimerEn revanche pour la seconde image, je ne vois décidément pas d’oiseau.
Comment allez vous Cédric ?
Les billets sur votre blog sont moins nombreux que l’année précédente ! Est -ce le manque de temps ou d’inspiration ? Est ce que c’est parce que vous allez bien et que vous avez décidé de profitez de la vie ?
Pour ma part, j’ai connu ces dernières semaines, une sorte de « rechute ».
Surcroit de stress,
de travail,
de manque de sommeil,
d’activité physique
de petits bonheurs simple,
de lumière,
de mauvaise habitude alimentaire…
bref quand j’y repense la liste est assez longue,
Résultat : le moral chute, des angoisses me visitent de plus en plus, je me sens beaucoup plus émotif, et les insomnies reprennent.
Il faut que je m’occupe d’avantage de moi avant qu’il ne soit trop tard et que je n’arrive plus à redresser la barre tout seul.
Je râle souvent contre cette fragilité qui me caractérise.
Pourquoi ne suis pas « costaud » comme la plupart de gens ?
Même si le rythme de la vie est très soutenu sur la région parisienne et dans mon métier, même si la pression professionnelle est de plus en plus importante, pourquoi je ne tiens pas coup ?
Ma dépression de 2011 m’a prouvé que j’étais fragile, depuis je pense que j’ai perdu un certain capital confiance.
Bon allez, j’arrête de vous raconter ma vie.
Au juste qu’avez vous pensez de votre dernier livre « changer d’altitude »
Je cherche un bouquin sympa à lire dans le développement personnel.
A bientôt,
Yannick.
Bonjour Yannick, toujours un plaisir de vous lire.
SupprimerConcernant la seconde image, en effet, il faut un peu d'entrainement : fixez l'image et essayez de loucher très progressivement jusqu'à superposer les éléments qui sont en fait repetitifs, pas facile à expliquer mais juste en faisant cela, vous verrez un oiseau qui déploie ses ailles apparaitre en 3D!
Concernant mon blog, en effet vous m'avez demasqué.... je suis dans une mauvaise période, submergé par les angoisses, mon esprit est mobilisé pour la lutte mais... j'ai fini par baisser les bras et j'ai repris mon traitement...
Rien à voir avec ma "crise" de 2011, surement parce que je n'ai pas attendu de toucher le fond comme précédement. Cette fois, ce ne sont pas émotions qui sont touchées mais mon anxiété. Je pense que j'ai mené le mauvais combat, ma depression était peut être due à mon anxiété latente et non à des états d'âme vaccillants car j'ai toujours aimé rire, j'aime la vie, la nature, mes enfants etc... j'ai juste peur de perdre tout cela et ça me prend aux trip jusqu'à m'amener aux crise d'angoisse...
Mon manque de confiance y est surement pour beaucoup, je vais devoir travailler là dessus... un combat de plus qui reste malgré tout interessant... comme je dis souvent : toute experience est bonne à prendre.
J'écrivais donc moins car difficile d'être crédible quand les conseils que je donne ne fonctione même pas sur moi...
Les questions que vous vous posez, je me pose les mêmes... finalement, tous les anxio-depressifs sont les mêmes ;-) Comme vous, je me sens faible face aux difficultés de la vie moderne, je me sens faible aussi et surtout face à ma femme qui elle aussi à des angoisses parfois mais rien à voir avec les miennes, elle est bien plus forte et pour un homme, c'est pas facile à assumer...
Mais bref, moi aussi je raconte ma vie (ce blog est là pour cela malgré tout! ;-)
Le traitement que je prends (faible dose) va me remettre sur les rails
Pour finir, j'ai terminé depuis un bon moment le livre "changer d'altitude" que j'ai beaucoup aimé... je vous le conseil, Bertrand PICCARD donne de bons conseils pour changer d'optique, pour positiver dans l'adversité (même si une fois de plus, je suis mal placé pour dire que cela fonctionne ;-). Je pense que tous ces conseils, ils faut les appliquer dans un état de sérénité et ensutie les entretenir... un travail de tous les jours que j'ai parfois tendance à ne pas poursuivre..
Voilà, vous savez tout... à bientot
Voici pour la robe : (il existe plein d'autres liens sur internet à ce sujet, j'ai pris le 1er que j'ai trouvé)
RépondreSupprimerhttp://www.leparisien.fr/sciences/alors-cette-robe-noire-et-bleue-ou-blanche-et-or-ce-que-dit-la-science-27-02-2015-4563409.php
à Anonyme : Pour voir l'oiseau il faut comprendre qu'il y a deux images dans l'image ... Deux images très proches , très semblables l'une à l'autre mais un peu décalées ... Alors il faut laisser apparaitre dans son regard la troisiéme image formée par la fusion des deux images dans le cerveau , et alors on voit l'oiseau .... Bon , il faut agrandir l'image sur l'écran ... Et se laisser prendre par le jeu des formes de couleurs .... L'image de l'oiseau est entre les formes , un peu comme la musique est entre les silences et les sons ....... Il faut regarder entre ce qu'on voit ........ Voilà comment je le comprend .................................
RépondreSupprimerje ne saurais mieux expliquer ;-)
Supprimerà Anonyme : Agrandis l'image sur l'écran en fond noir , et regarde alors ton écran comme s'il n'avait pas de fond tout en laissant ton regard se prendre dans les couleurs ... Regarde à travers ton regard .... Et alors l'image cachée apparait .......
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